Après une année oppressante de crise sanitaire qui tarde à se résoudre, AKKA persiste à faire payer la note à ses salarié·es ! Le PSE n’est que la partie émergée de la casse sociale chez AKKA : du 1er janvier 2020 au 31 mars 2021, plus de 2000 salariés ont quitté les filiales françaises, dont plus de 1000 départs contraints. Le PSE aujourd’hui c’est encore 1024 salarié.es concerné.es pour 308 suppressions d’emplois, dont 238 à Toulouse, 37 au Havre (Gonfreville), 20 en Ile de France et 13 sur Lyon. Pourtant, ce sont justement les salarié·es qui portent l’entreprise, produisent et créent la valeur. Un chef d’entreprise sans ses salarié·es, c’est un auto-entrepreneur, rien de plus. Cette maltraitance, ce harcèlement, cette peur d’un avenir obscurci doit cesser. AKKA peut traverser cette crise en valorisant toutes ses compétences, tous ses « talents » ![…]
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